Pétitions, meetings, placets : une histoire de la prise de parole
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- Écrit par Jean-Paul BOUDAULT
- Catégorie : Lire, voir, écouter
Twitter, Facebook et autres réseaux sociaux sont nos porte-voix qui dispersent indignations, coups de gueule et approbations. Diantre, comment faisait-on autrefois pour partager son opinion dans l'espace public ?
Du fin fond du débat public veille celle que l’orateur appelle quand il rencontre des difficultés à faire passer ses idées, quand il n'est plus capable de trouver une solution à ses problèmes, quand il ne reste plus aucun espoir : l’opinion publique !
Histoire de la BD historique
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- Écrit par Jean-Paul BOUDAULT
- Catégorie : Lire, voir, écouter
Premier volet de la rencontre-Enseignants organisée par le Service éducatif et culturel de la Conciergerie/Sainte-Chapelle le 7 octobre 2020
L’intervenant : Paul Chopelin, maître de conférences à l’université de Lyon-III
Le thème : Histoire et bande dessinée, intervention à la Conciergerie, Paris, le 7 octobre 2020.
Second volet de la rencontre-Enseignants organisée par le Service éducatif et culturel de la Conciergerie/Sainte-Chapelle le 7 octobre 2020
Les intervenants: Paul Chopelin, maître de conférences à l’université Lyon-III ; Florent Grouazel et Younn Locard, auteurs-dessinateurs
L’album: Révolution, tome 1: Liberté, Actes Sud, 2019.
Les hussards noirs de la République
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- Écrit par Jean-Paul BOUDAULT
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Depuis les lois Ferry, dans les années 1880, l’école est gratuite, obligatoire et l’enseignement est laïque. En 1913, Charles Péguy qualifie les instituteurs de "hussards noirs". Le terme est resté : combatifs, engagés dans la formation des jeunes générations, ils défendent l'école de la République.
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Histoire du travail à domicile
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- Écrit par Jean-Paul BOUDAULT
- Catégorie : Lire, voir, écouter
Paysan qui devient façonnier durant l'hiver, aristocrate qui gère son patrimoine, moine qui alterne prières et tâches manuelles, femme qui s'occupe du foyer, ils ont tous un point commun : le travail à domicile.
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Ouragan à Voulême
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- Écrit par Alain TEXIER
- Catégorie : Climatologie
Voulême - BMS-1767-1778, p. 80
Voulême - BMS-1775-1785, p. 20
« L'an mil sept cent soixante dix sept, le trois juillet vers les six heures et quelques minutes du soir, il s'éleva un ouragan qui dans une demi-heure ou quarante minutes abattit le tiers des noyers du pays, brisa tous les châtaigniers, coucha par terre toutes les treilles et endommagea beaucoup de moissons en couchant les blés qui ne pouvant se relever furent couverts de jargeau. Les paroisses qui furent le plus endommagées furent St-Macoux, St-Saviol, Voulême, les Adjots, Taizé et St-Gaudent. Les autres, à trois ou quatre lieux aux environs furent aussi maltraitées mais pas tant que les précédentes. »
Qu'est-ce que le « jargeau » ?
Une noyade à Voulême
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- Écrit par Alain TEXIER
- Catégorie : Actes insolites
« L'an 1773 et le 18 février, le corps de François Luquiau, domestique de Jean Chevallier meunier à Roche-sous-Nieuil, trouvé noyé vis-à-vis le pré de la Fond de cette paroisse, comme il m'a paru par l'extrait du procès verbal de levée de cadavre faite par devant M. le lieutenant criminel de la sénéchaussée de Civray le dix huit février, signé L'Evoille, par lequel il ordonne qu'il sera fait mention dans l'acte de sépulture que ledit Luquiau est noyé dès le 17 janvier dernier, a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse par moi prêtre soussigné Touzalin, desservant de Voulême. »
Si le « pré de la Fond » cité dans le texte est le « pré de la Fontaine » du cadastre napoléonien, le corps aurait parcouru environ 600 m depuis le moulin de Roche, en un mois.
Z comme... Zolt
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- Écrit par GERBAULT Jacky
- Catégorie : Challenge 2019
A l’occasion de mes recherches généalogiques j’ai été attiré par la présence d’un certain ZOLT Jean-Baptiste, 80 ans, charpentier, dans la même maison que mon arrière-grand-mère.
Par curiosité, j’ai voulu en savoir plus sur ce Zolt. Il est né le 16 octobre 1815 de François Zot, maçon, et de Martin Magdeleine. François Zot décède en 1825. Lors de son mariage en 1808 avec Magdeleine Martin, le scribe le nommera plutôt Gaux, sachant qu’il venait de l’Indre d’une famille Zeau de Lignac. Son père décède en 1795 à Lignac sous le nom de Zeau. Sa mère décède, elle, en 1790, toujours à Lignac.